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      Pour Jigoro KANO : « Le sens du sport n’est pas dans le score ou le record mais dans l’habileté et les moyens déployés pour y parvenir. » Pour éviter les blessures il ôta les techniques dangereuses et en modifia d’autres.

 

      La compétition peut être considérée comme une grande fête, un lieu où l’on se retrouve, où le meilleur gagne.

 

      Le résultat est l’aboutissement d’efforts quotidiens et permet de connaître les éléments à améliorer. La transformation de l’échec permet de développer sa détermination.

 

      La compétition concrétise un travail assidu dans tous les domaines : celui de la volonté, de l’approfondissement technique et de la préparation physique.

 

      Et, comme le dit David KEARNS : « Dans la course à la qualité, il n’y a pas de ligne d’arrivée. »

 

      En cliquant sur ce lien vous découvrirez le combat entre Isao INOKUMA et Anzor KIKNADZA en + 80 kg lors des Jeux Olympique de Tokyo en 1964 : https://www.youtube.com/watch?v=qfqFog35FJM.

 

      Bien à vous.

      Florent PELLETIER